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Dans Noir de suie, Poèmes d’atelier, Monique Deland épie sa démarche de créatrice. Le geste artistique prend son élan sur le dos des cadavres passés par le feu de la crémation. Il n’en reste presque plus rien. Quelques cendres dans l’atelier encore noir de suie, une caverne aux odeurs de fin du monde. L’habitation intime du creux laissé par les disparitions et par le passage du feu fait naître un étonnant désir de donner forme. Sont réactivés les fantômes du père, de la sœur jumelle, de la sœur cadette, ainsi que celui de la poète elle-même, brûlée à répétition par le feu d’un tyran armé.
Quelques œuvres visuelles de l’artiste relancent et prolongent les poèmes, dans un dialogue fécond permettant d’approcher plus intimement que jamais l’univers poétique de Monique Deland.