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Para Azorín, " las «Cartas desde mi celda» pudieran marcar una época en la literatura castellana " . Azorín pensaba sobre todo en el paisaje: " ¿Habrá nada más limpio y más preciso que esos paisajes de Bécquer? " . Pero, más allá del paisaje, Bécquer sí marcó una época. La literatura de Bécquer está tejida con ese " hilo invisible de las misteriosas relaciones de las cosas " que adivinaba en la «Historia de una mariposa y de una araña». Sin haberse conocido, acaso ni leído, Peter Schlemihl había vendido su sombra, mientras el Manrique de «El rayo de luna» " hubiera deseado no tenerla, porque su sombra no le siguiese a todas partes " . " La burda saya que visten y el bocado de pan que comen " las mozas de Añón vislumbradas en las «Cartas desde mi celda» parecen tener un eco imposible en " el traje que me cubre y la mansión que habito, / el pan que me alimenta y el lecho en donde yago " , de Machado. Cabe preguntarse si quizá el caballero inexistente de Calvino habrá sido ajeno a esa armadura vacía que con horror descubre un guarda en «La cruz del diablo». También al lector, como al autor, empieza a faltarle " la extraña lógica del absurdo " . Leer a Bécquer íntegro produce un saludable efecto: el de descubrir las otras fases de la luna. Por ejemplo, su sentido del humor o su devoción por el periodismo. Cuando don Restituto, en «Un tesoro», advierte que " si buenos descubrimientos hacemos, buenas fatigas nos cuestan " , nos parece estar oyendo al Sancho de " si buen gobierno me tengo, buenos azotes me cuesta " , un Sancho que se prolonga en el lamento del mesonero, tan cervantino en su humor. El periódico lo recibía " como una carta en cuyo sobre hemos visto una letra querida " . Entre los " dioses penates de su especial literatura " se hallaban " Rioja, en sus silvas a las flores; Herrera, en sus tiernas elegías " ; nunca olvidó a Dante y a Virgilio; admiró la belleza clásica de las odas de Horacio y el romanticismo fantástico de Zorrilla.