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Pobrecito poeta que era yo (1976) se publicó en Costa Rica en el medio de la zozobra. Hacía un año, a su autor, el salvadoreño Roque Dalton García (1935-1975), lo habían asesinado sus propios compañeros de armas. Por ese crimen atroz, parecía de inmediato que la novela nos ofrecía el testamento global del autor fallecido. Su publicación coincidía con el homenaje que Casa de las Américas editaba bajo el título de «Para Roque: el turno del ofendido» (enero-febrero de 1976).