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Nach langen und heiGen Bemlihungen hat Osterreich am 30. Juni 1948 sein "Bundesgesetz liber die Schutz- imp fun g eng e g e n 0 P c ken (Blattern)" erhalten! E i 11 hun d e r 11 t n d f li n f zig J a h r e nachdem Ed- war d J en n e r seine Untersuchungen liber die Pocken- schul}impfung in einer Schrift "An inquiry into the causes and effects of the Variola Vaccinae, a Disease, discovered in some of the western counties of England, particularly Glouccstershire, and known by the name of the Cow-Pox" in London] 798 vcroffentlicht hatte! Es gibt Leutc, die behal1pten, wir hatten noch einige Jahre warten soIlen, dann hatten wir uns das Gesel} liber- haupt ersparen konnen. Die Englander hatten die Pflicht- impfung auch aufgegehen. Das ist richtig, aber wir lehen nieht in England, sondern in Osterreich, und hier muG die Frage, ob wir eine Pfliehtimpfung brauchen oder nieht, an- ders beantwortet werden als in England. Dieselben Gedanken mlissen sieh wohl aueh die Schwei- zer gemacht haben, als sie im Jahre 1948, also erst vor einem Jahr, die Impfung in ihrem Vaterlande fUr obligatoriseh er- klarten. Wir Osterreieher sind Bewohner eines Landes, das im Knotenpunkt des europaischen Rei/?everkehrs steht, wir le- ben von ihm, wir haben also aIle Ursaehe, alles zu vermei- den, was ihn beeintrachtigen konnte, und dazu gehoren auch die Pocken.