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Christine Aventin est lectrice de Bataille : l’acte sexuel est une expérience de la transgression tout comme l’écriture est une pratique transgressive du langage. Elle est aussi lectrice de Jelinek : Il ne peut y avoir de langue spécifiquement féminine du plaisir et de l’obscénité, parce que l’objet de la pornographie ne peut développer de langue qui lui soit propre. C’est dans cet interstice qu’elle a écrit Portrait nu, un roman qui impose autant qu’il réfute la possibilité de faire un récit à partir d’une expérience pornographique au féminin, c’est-à-dire de donner la parole à l’objet sexuel au moment précis où il en est fait usage. Il en résulte non un texte de plaisir – travaillé en vue d’une pratique confortable de la lecture –, mais un texte de jouissance dont la lecture nous met dans un état de perte.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Christine Aventin a connu à quinze ans son quart d’heure de gloire, avec un roman dont le titre lui échappe. Elle en est toujours restée un peu gauche : un écrivain contrarié. Portrait nu a paru pour la première fois en 2005 aux éditions du Cercle. A disparu presque aussitôt dans un dépôt de bilan. Le revoici, comme le furet de la chanson, enrichi de la nouvelle La mort quand elle veut qui en éclaire la genèse.