Pour avoir voulu donner un visage à ce qui n'en peut avoir, un peintre
a du sang sur les mains.
Il fuira le chant des sirènes sans parvenir à se délivrer de ce qui le hante.
Élise, la femme végétale inséparable de sa chienne, le fait pénétrer dans
son jardin des métamorphoses ; là, ils vont conjuguer puis défier les
figures de leur enfer.
Entre l'avant et l'après, un carnet bleu creuse le sillon d'une écriture où
tout doit éclore.