Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
»Seid unbequem, seid Sand, nicht Öl im Getriebe der Welt« - dies ist vielleicht die bekannteste Zeile aus den Gedichten Günter Eichs, der in den fünfziger und sechziger Jahren auf dem Höhepunkt seines Ruhms stand und dessen Gedichte neben denen Gottfried Benns und Karl Krolows für viele Leser der Inbegriff dessen waren, was moderne Lyrik nach 1945 zu leisten vermochte.Was Menschen zu den Untaten des »Dritten Reiches« veranlaßt hatte, war mit dessen Ende keineswegs untergegangen. Diesem Weiterleben rückte Günter Eich mit einer neuen Bildsprache zu Leibe, mit Chiffren, Rätseln und Symbolen für das Unheimliche, Unerklärbare der menschlichen Natur. Immer weiter bewegten sich seine Gedichte in Richtung eines witzig-lakonischen Pessimismus, richteten sie leise Hartnäckigkeit und trockenen Spott gegen die vereinnahmende Kraft des Konsums, gegen besinnungsloses Einverständnis und dümmliche Zuversicht - bis sie schließlich, bisweilen verkürzt auf Einzeiler und Ein-Wort-Gedichte, kurz vor dem Schweigen verharrten.Zum 100. Geburtstag des Autors bietet der Suhrkamp Verlag in seiner Reihe der handlichen »Gedichte in einem Band« Günter Eichs Gedichte von 1930 bis 1972 als ein modernes lyrisches Vademecum: Es sind Texte für Leser, die in einer Zeit der Ernüchterung und der gescheiterten Utopien die Räume des Poetischen nicht versperrt sehen wollen.