L’ouvrage est une analyse critique de la notion de savoir local telle qu’elle est mobilisée en situation par différents acteurs, locaux comme étatiques ou non-gouvernementaux. Cette réflexion vise à évaluer la façon dont la reconnaissance juridique des savoirs locaux à l’échelle internationale depuis le Sommet de la terre 1992 se traduit dans la pratique. Les études de cas montrent des situations contrastées à partir de quatre points de vue disciplinaires
:
économie, agronomie, sociologie, anthropologie
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