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Der Streit um die Göttlichen Dinge (1811/12) ist - nach dem Pantheismus-Streit (1785) und dem Atheismusstreit (1799) - der dritte große Streit um das Verhältnis von Philosophie und Religion. Während in den beiden erstgenannten Streitsachen das Verhältnis der Philosophie Spinozas bzw. Fichtes zum herkömmlichen Theismus zur Debatte stand, wird der Streit um die Göttlichen Dinge um die Bestimmung eines zureichenden Begriffs des Theismus selbst geführt. Ausgelöst hat ihn Jacobi mit seiner im vorliegenden Band edierten Schrift »Von den göttlichen Dingen und ihrer Offenbarung« (1811). Hier erhebt er gegen die Identitätsphilosophie Schellings die scharfe Anklage, dass in ihr der Pantheismus im lügenhaften Gewand des Theismus auftrete.
Ergänzt wird diese Schrift durch Jacobis Vorbericht zu Band III seiner Werke (1816) sowie den Vorbericht zur zweiten Auflage (1816), in denen Jacobi im Rückblick auf den Streit der vorangegangenen Jahre seine Position nochmals artikuliert, sowie durch einen handschriftlichen Entwurf. - Der ausführliche Kommentar leistet erstmals die Identifizierung der von Jacobi gegen Schelling erhobenen Vorwürfe in dessen Schriften und bildet eine Voraussetzung zur angemessenen Beurteilung des Streits.