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Henker und Scharfrichter in SalzburgBlutrünstig und grausam ist die Geschichte der Salzburger Justiz. Bis zum Ende des geistlichen Fürstentums 1803 galt die Peinliche Halsgerichtsordnung Kaiser Karls V. von 1532, die bei zahlreichen Vergehen die Todesstrafe vorsah. Zur Abschreckung inszenierte die Obrigkeit den gewaltsamen Tod als Massenspektakel, selbst in der Zeit der Aufklärung kannte man selten Mitleid und Erbarmen. Doch wer waren die Männer, die für Geld töteten? Wieviel kostete eine Hinrichtung? Wie stand es um die Familie und die Sozialkontakte des Scharfrichters? Ging die Handhabung von Schwert und Galgen immer den gewohnten Gang? Und konnte ein Henker eigentlich in Pension gehen?Diesen und anderen Fragen gehen Gerhard Ammerer und Christoph Brandhuber in ihrem Buch nach. In Akten, Briefen und Tagebüchern verfolgen sie die blutige Spur, die sich durch die vergangenen Jahrhunderte zieht, vom Mittelalter bis zur letzten Hinrichtung am 22. November 1949. Das Ergebnis ist ein Manifest gegen die Todesstrafe.