Sic transit gloria mundi
Ainsi s'offre à nous cette étonnante épiphanie : troublante cohorte d'oiseaux qui se présentent dans ce qu'ils ont très précisément de plus volatile, de plus léger, de plus fantomatique, et qui se donnent à voir aussi à la manière de caractères qui nous semblent être proches, très proches, comme nos prochains. Comme le sont pareillement tous nos reflets dans les miroirs, et nos façons de disparaître et de voir la fumée que laisse après nous la vanité de nos postures. Ainsi passe la gloire du monde.