Il me faut être heureux pour écrire. Même quand le texte en soi est une cartographie de la violence ou qu'il développe la dysenterie. Je ne me vois pas laisser couler une larme sur la joue ou porter un coeur lourd de chagrin afin de marchander avec les mots. L'écriture est consécutive à la joie de vivre, au bonheur...