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Como la poesía surge del dolor, dos poetas, el granadino Javier Gilabert y el malagueño Diego Medina Poveda, han escrito al alimón Sonetos para el fin del mundo conocido, que responde a sus sensaciones del tiempo de confinamiento, a lo que sintieron viviendo esta situación desoladora, a este océano de lágrimas de millones de personas que es un río que no cesa. Hay poemas escritos a cuatro manos y otros por separado pero complementándose siempre, con una inusual coherencia que es lo que interesa a la obra y que evidencia que ambos han intentado ponerse en la piel del otro, del vecino, del amigo o del desconocido.Por todos y para todos, mi deseo de que estos poemas sirvan de bálsamo, de paz, de concordia y de reflexión; que sean una mano tendida con una rosa blanca purísima a un porvenir que no sabemos adónde nos va a llevar, pero que necesitamos imperiosamente que nos devuelva la esperanza en la bondad del ser humano y esa fe perdida en nosotros mismos. Remedios Sánchez