Jean-Pierre Rochat écrit comme il respire, à pleins poumons, en haut de sa montagne à la belle herbe grasse, dans la partie francophone du canton de Berne. Au petit matin brumeux, alors que persiste la mémoire des rêves, il note ses incursions dans l'étrange, puis sort soigner ses bêtes. Les messages qu'il nous adresse sentent la chèvre, le cheval ou le sapin. Ce sont <
Les fêlures insoupçonnées d'un éleveur de chevaux nous <
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