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Crise de l’intermittence, épuisement d’un « théâtre d’art de service public », lassitude face à la posture souvent ressentie comme hégémonique du « maître en scène » : vivons-nous dans une époque hostile au drame ?Oui, si l’on en croit la tendance théorique dominante du « postdramatique », et si l’on considère le « drame » dans son acception étymologique, comme représentation d’une « action », et par conséquent comme possibilité même d’une action du théâtre sur la société. Allant dans le même sens, l’opinion commune, y compris chez les spécialistes, tend à embaumer les arts de la scène en les opposant aux industries culturelle et au divertissement de masse – discours louable qui se présente comme une défense, mais dont on voit bien de quelle manière il risque d’enterrer vivant le théâtre en le mettant « hors-jeu ».Le constat de crise ne suffit pas, non plus que l’appel au renouveau d’un ludisme et des traditions du tréteau. Encore faut-il observer les propositions scéniques contemporaines afin de discerner d’où vient la déstabilisation de normes en grande partie figées par les routines du service public culturel, et quelles sont les nouvelles formes de confrontation scénique de l’œuvre et de la vie à même de réactiver la fonction sociale du théâtre.