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Ausgehend von Adornos einflussreichem Diktum, was Kultur nach Auschwitz überhaupt sein könne, nimmt die in Wien lebende Philosophin Sabine Kock zentrale Argumentationen von Theodor W. Adorno und Max Horkheimer, Hannah Arendt, Jean-François Lyotard, Sarah Kofman und Georges Didi-Huberman in den Blick. Für sie alle ist die Einbildungskraft eine unabdingbare philosophische Kategorie und gesellschaftliche Kraft, jedoch auf grundlegend verschiedene Weise. Kant erweist sich dabei als zentrale Referenz: einerseits als Garant einer unwiederbringlich vergangenen, kohärenten Welt, andererseits als Quelle einer verhängnisvollen 'Dialektik der Aufklärung'. Filmmaterial aus dem Prozess gegen Adolf Eichmann sowie ein Epilog über die reflexive Erzählerin Ruth Klüger ergänzen diese Perspektive.