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In »De la causa, principio et uno« (wahrscheinlich 1584) entwirft Giordano Bruno so etwas wie seine 'Metaphysik', d. h. seine Prinzipienlehre oder Theorie der ersten Ursachen des Seins. Die hier fundierten Theoreme bleiben für die Arbeiten der Londoner Zeit insgesamt verbindlich, sie werden höchstens aus anderen Perspektiven – etwa der ethisch-praktischen oder der kosmologischen – ergänzt.
Vor dem Hintergrund einer radikalen Kritik an traditionellen Mustern des Denkens, insbesondere des Aristoteles und der an ihn anknüpfenden scholastischen Tradition, gelangt Bruno zu einer radikalen Umdeutung der Kosmologie, indem er bis dahin gültige qualitative Differenzierungen einebnet und die Materie durch die Vorstellung, dass permanenter Wechsel das einzig Stabile sei, sowie eine Implantierung des Geistigen in das materielle Grundsubstrat aufwertet. Brunos in brillanter rhetorischer Manier durchgeführte, äußerst vielfältige Argumentationskunst zielt dabei auf einen radikalen Monismus, der in letzter Konsequenz zu einer Zusammenführung der in der Tradition auseinandergehaltenen Ursachen führt, ja sogar dazu, dass als einzige Ursache das Universum selbst mit dem Einen und der Materie als koextensiven Modi behauptet wird.