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Vor langer Zeit, als man für den Dollar noch 870 Lire erhielt, kam Joseph Brodsky zum ersten Mal nach Venedig. Er war zweiunddreißig Jahre alt und kannte die Stadt bisher nur aus einem zerfledderten Buch von Henri de Regnier und von ein paar kostbar gehüteten Postkarten, die ihm eine Jugendfreundin einst zum Geburstag geschenkt hatte. Aber seit jener Zeit stand für den Dichter aus Petersburg fest: "Sollte ich einmal Rußland verlassen dürfen, dann würde ich sofort nach Venedig reisen." Seitdem ihn seine Landsleute ausgebürgert haben, reist er nun jedes Jahr von New York nach Venedig, im Winter, wenn die Luft klar ist und die Farben von jener Durchsichtigkeit, wie wir sie von den Bilder Canalettos kennen. Seiner Liebe zu Venedig, der "Stadt des Auges", die auf keinem festen Fundament steht, gibt er in diesem Buch Ausdruck.