L'auteur nous dit ici que les morts nous habitent. Il s'interroge sur l'au-delà et sur la vie éternelle. Il questionne la religion au sein de laquelle il a grandi. Il se tourne aussi vers les poètes, vers ceux pour qui chaque instant est « tissé d'éternel ». Son texte s'élève alors au niveau du chant, dans cette quête d'un paradis « dispersé sur toute la terre » dont il importe, selon le poète Novalis, de réunir « les morceaux épars ».
« Un chant léger, discret, de questionnements plus que de réponses (...)
Je n'ai pas vu d'ombres dans ces poèmes. Pas du tout. Mais une lumière ».
François de Cornière (extrait de la préface)