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Los poemas de Una vida de pueblo (2009), de Louise Glück, Premio Nobel de Literatura 2020, se suceden en forma de breves relatos y monólogos que giran en torno a los ritmos de la vida diaria de unos habitantes cuya existencia se ve definida por el lugar en que nacieron. Anclados en una aldea anónima italiana, el escenario no es, sin embargo, el idílico entorno de las églogas clásicas o el tópico paisaje de acuarela que la sencillez del estilo de la autora parecería evocar ?poco más que montañas, ríos, campos, sol, olivos y unos pocos adjetivos?, sino un lugar cruel que «mata sin ningún motivo a la gente, / solo por no perder la costumbre». Atrapadas en la dicotomía de quedarse y envejecer o marcharse y mirar siempre atrás, la polifonía de voces de diferentes generaciones compone así una suerte de palimpsesto que es también una lente a través de la cual mirar reflexivamente la infancia y sus secretos, la adolescencia y sus ambigüedades, la madurez y sus engaños, la vejez y las certidumbres de la tumba. A medio camino entre lo que podría haber escrito Robert Frost si hubiera sido un poeta confesional y una Antología de Spoon River sin moralismos, Una vida de pueblo supone el punto final a la fórmula de poemas-secuencia que la autora empezó a ensayar sobre todo en El iris silvestre (1992) y que encuentra aquí uno de sus mejores logros.