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StilllebenKaffeeränder zwischen den Papieren,eine zu früh verlassene Schreibmaschineneben der erloschenen Kerze. Wer hinterließ das Fenster nach dir?Wer wird es wieder öffnen?Nur ich bemerke deinen Duft in den Gardinen - flüchtig war dein Aufbruch, niegenug Sein für deinen einsamen Planeten -deine Hände, die mich noch streifenEine Landschaft kippt, ein Ich kehrt noch einmal zu seinem Geburtshaus zurück, das sich inzwischen hinter Efeuranken verschließt, derweil kreisen Gefühle um eine längst zur Chimäre gewordene Liebe - die neuen Gedichte von Björn Hayer berichten von Momenten des Umschlagens und der Verfremdung. Zugleich zehren sie von dem unbeirrbaren Versuch, Verlorenes wieder zu vergegenwärtigen. Und während ein Regen die Sonnenanbeter in Wallung versetzt und die Toten ins Diesseits rufen, ringt ein Subjekt immer wieder mit Blättern. Sie fallen von den Bäumen oder begegnen ihm als das weiße Papier. Was bietet die Fläche? Das Nichts oder doch die noch ungenutzte Möglichkeit? Klar ist: »Dichten, frei über der Erde, / ist das fünfte Element«. Sie setzt die Welt neu zusammen und vermag aus der Ferne heraus zum Nächsten zu drängen: »Vom Rande deines Tals höre ich / das Echo: Schlaf ein und bette dich, / bevor der Morgen anbricht.« Denn dann könnte alles schon vorbei und die Verschwörung von Natur, Traum und Bewusstsein vollends im Gange sein.