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Nur wenige Berichte von sowjetischen Kriegsgefangenen sind überliefert - der eindrucksvolle Text von Tamurbek Dawletschin ist einer davon.Der Tatare Tamurbek Dawletschin wird kurz vor dem deutschen Überfall auf die Sowjetunion im Juni 1941 zum Dienst in der Roten Armee einberufen und an die Front geschickt. Schon bald gerät er in Gefangenschaft und wird wie Hunderttausende andere sowjetische Soldaten nach Deutschland verschleppt. Er landet schließlich im »Stalag XI C (311)« Bergen-Belsen. Dawletschin überlebt das Massensterben im Winter 1941 /42, bei dem mehr als 14.000 Gefangene elend ums Leben kommen. Nach seiner Entlassung im Juli 1942 wohnt er als Zivilist zunächst in Berlin und später in Dresden, erkrankt schwer an Tuberkulose und erlebt das Kriegsende in einer Klinik in Bayern. Erst 1951 kann er das Sanatorium verlassen. Er zieht nach München und arbeitet dort am »Institut zur Erforschung der UdSSR«. Tamurbek Dawletschin stirbt 1983 in München, ohne seine Heimat jemals wiedergesehen zu haben.Sein detaillierter Bericht ist eindringlich und von literarischer Qualität. Die dramatischen Erfahrungen erschüttern, zugleich erweitern sie zeithistorisches Wissen.