Lorsqu'il débarque en Égypte avec son épouse Sarah en 1815, Giambattista Belzoni ne s'attend pas à devenir un des pionniers de l'égyptologie. Il découvre des tombes royales de première importance, désensable le temple d'Abou Simbel et ouvre la pyramide de Khéphren. Mais le plus difficile fut sans doute de négocier avec toute une foule de cacheffs, agas, caïmakans, paysans, bateliers, sans oublier le consul de France, Bernardino Drovetti, jaloux de sa chance insolente, et qui fera tout pour le mettre en échec.