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Dagmar Nora Shornys Gedichte führen ins offene Gelände, leichten Fußes streift sie durch Jahreszeiten und Witterungen. Da laufen Blätter vorbei, zittern die Gräser, sie betrachtet dies, sie berührt jenes, man möchte genauer hinsehen, doch sie hält inne und geht schlicht von dannen. Man schließt die Augen und lauscht. Da hört man ein Zwiegespräch, Erinnerung und Gelebtes treten zutage, Shorny wird redselig, man erfährt über das Geschehene, unversehens kehrt sie um und verwischt die Spuren, lässt es gut sein. Unbeirrt spielt die Philosophin mit der Vergänglichkeit, nimmt Abschiede in Kauf und wendet sich voller Hoffnung der Schönheit zu.Da sterben wir unzählige Tode, Geschöpfe, Menagerie, Getier, bieten den Widrigkeiten des Lebens die Stirn, als wäre es zum letzten Mal. Die hier vorliegenden Gedichte, tröstlicher Abgesang angesichts der Zerstörung der Natur, nehmen der Zeit die Trauer durch den Verweis auf ein größeres Ganzes. Es sind Liebesgedichte, die Dagmar Nora Shorny in Landschaften setzt, lenguas de tierra, die sich nicht in Metaphern verlieren, sondern die Natur als das begreifen, was sie ist, Ursprung allen Lebens. Gedichte voller Zärtlichkeit für diese Welt.Marion Wisinger