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»Ich brauche Hilfe in der Küche, Frau Baronin«, erklärte Marie-Luise Falkner. Die junge Frau, die über die Küche von Schloß Sternberg herrschte, hatte Baronin Sofia von Kant um diese Unterredung gebeten. »Eine gute zweite Kraft, die mir zur Hand geht. Allein schaffe ich die Arbeit einfach nicht mehr.« »Ich weiß, Frau Falkner. Die Frage ist nur, wo wir eine gute Hilfsköchin oder einen Hilfskoch finden sollen«, erwiderte die Baronin seufzend. »Sie wissen doch, wie schwierig es heutzutage ist, gutes und zuverlässiges Personal zu finden.« »Darf ich einen Vorschlag machen?« »Natürlich dürfen Sie das, Frau Falkner. Haben Sie etwa schon jemanden im Auge?« »Nein, leider nicht. Aber Sie könnten es mir überlassen, mich umzuhören. Ich würde Ihnen dann zu gegebener Zeit ein paar Vorschläge machen. Sie müssen sich nicht selbst darum kümmern, das wollte ich damit nur sagen. Ich weiß ja, daß Sie im Augenblick andere Dinge im Kopf haben.« Marie-Luise senkte den Kopf mit den dunklen Locken, bei den letzten Worten hatte ihre Stimme angefangen zu zittern. »Das ist in der Tat so«, bestätigte Sofia.