La terrible affaire Von Schreck avait laissé flora Vernet exsangue... elle qui combattait les monstres sanguinaires de ce siècle et les préjugés machistes de ses collègues avec la même fougue, restait aujourd'hui sans énergie, prostrée. Hugo déployait des trésors d'imagination pour la sortir de son apathie. Même le fameux commissaire Dupin, son rival, dont l'intelligence n'avait d'égale que la misogynie et la prétention, même lui tentait de la stimuler lors de parties d'échecs... qui s'achevaient sans frisson ni éclat, flora demeurait sous l'emprise d'un attrait macabre, s'enfonçant, jour après jour, dans l'infernal tourbillon du dégoût de la vie.
Qu'est-ce que le destin aurait bien pu inventer pour réveiller son instinct de chasseresse ?
Quel crime odieux pour aiguillonner son appétit de justice ?
Seule la lecture de « Wodunnit à L'Opéra » vous le révélera.