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Alfred Bekker, Thomas West: Grainger und die Squaw
Der Prediger zügelte sein Pferd und wandte den Kopf nach Westen. Die Luft flimmerte es war verdammt heiß. Jeder andere Mann hätte in dem dunklen Anzug, den er trug, gechwitzt. Aber dem Prediger schien das Feuer der Sonne nichts auszumachen. Es schien ihm ebenso wenig etwas anhaben zu können, wie das Feuer der Hölle.
Der Prediger lauschte.
Er hatte gute Ohren.
So hörte er auch jene Geräusche, die der heiße Wüstenwind fast verschluckte, während er über das Land strich und und Sand aufwirbelte und vertrocknete Sträucher vor sich hertrieb.
Das waren Schreie, die da von Ferne an sein Ohr drangen.
Der Prediger schlug nun eine andere Richtung ein. Er ließ sein Pferd auf die Anhöhen zuhalten und überquerte sie.
Auf dem höchsten Punkt angekommen, zügelte er er kurz sein Pferd und blickte dorthin, woher die Schreie kamen.
Frauenschreie, die sich mit dem Gelächter von Männern mischten.
Die Gestalt des Predigers hob sich als dunkler Schatten gegen die inzwischen tiefstehende Sonne ab.