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De schrijvers Max Niematz en Anton Dautzenberg hebben elkaar nooit in levenden lijve ontmoet. Begin 2020 zocht Niematz per mail toenadering tot zijn collega. Hij meende in Dautzenberg, met al diens bij tijd en wijle stuitende weerbarstigheid, toch ook ‘ein Gutmensch’ te zien. Dautzenberg schreef terug. Hij bleek in Niematz, met al diens lachwekkende misantropie, toch ook de immer goedgemutste, zachtmoedige mens te herkennen. Een en ander resulteerde in een intensieve, om niet te zeggen stormachtige correspondentie van minder dan een jaar, waarin tal van behartigenswaardige onderwerpen de revue passeerden: de literatuur, het tijdsgewricht, kwaaltjes, geboortegrond, het Onuitsprekelijke, groeiende ergernissen over en weer en vele andere. Hoewel de briefwisseling van beide schrijvers het uiterste aan incasseringsvermogen vergde, spatte het schrijfplezier ervan af. En toen was de koek op. Net als bij een spannend leesboek dus, je weet dat de bom ergens moet barsten.