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À la prison d’Étry, jour du printemps, c’est la mutinerie chez les jeunes détenus de l’unité 221. Au début, il s’agit juste de demander deux heures de promenade, en refusant de réintégrer les cellules. Mais les événements dégénèrent. Et ça fait mal. Policiers à l’hosto, surveillants enragés. La mutinerie est matée par les groupes d’intervention, et les meneurs envoyés au quartier disciplinaire des adultes. Se retrouvent alors en cellule isolée : un jeune braqueur déterminé, mais non dépourvu d’idéalisme ; une graine de mafia capable de tuer avec un stylo ; un étudiant apeuré, qui n’a rien à faire là ; un dangereux illuminé, échappé du quartier de haute sécurité. Face à eux : un sous-directeur un peu dépassé, obnubilé par une vengeance personnelle, un surveillant-chef proche de la retraite et des éducateurs sans moyens. Là où règne la loi du plus fort, beaucoup tentent de sauver leur peau. Comme partout ailleurs. Le ciel sur la tête est un roman noir, qui nous plonge avec violence et crudité dans l’univers carcéral. À travers une description saisissante de la prison, il pointe les échecs du pouvoir politique, le manque de moyens des éducateurs, le problème des jeunes en prison. Âpre, sans concessions, c’est un livre profondément humain.