«L'impatience heureuse des commencements. L'horizon est un
cercle parfait, la mer est déserte, vide comme la page blanche qui
m'attend, comme les jours à venir, avec juste le soleil et la mer, et les
îles. Et le soleil se lèvera sur la mer, se couchera sur la mer. Je pourrai
sortir le matin sur le pont le regarder se lever jusqu'à ce que
l'aube grise devienne la rose aurore, et ensuite me rendormir, tout
enclose dans la beauté du jour naissant. Le bonheur se confond avec
la mer et le soleil et l'écriture à venir, les longues matinées d'écriture,
le temps rendu à sa liberté.»