Un autre Eden nous emporte sur les traces d'un type génial et malgré tout méconnu, Jack London, accompagné de notre fils Martin car tous les deux sont nés un jour de janvier 76. On y découvre des femmes magnifiques, une robe en feuilles de cocotier, une machine à best-sellers, la permanence d'une pauvreté qui devrait nous être insupportable, les illusions et les désillusions du socialisme, le tumulte des relations entre parents et enfants, notre incurable légèreté.
« Aux morts pour qu'ils vivent. Aux vivants pour qu'ils aiment. »
Voici deux bonnes raisons d'écrire un roman.
B. C.