Au commencement, il y avait Wolf Leib Fränkel, mon arrière-grand-père.
Après, sont venus Max Ophuls et Martin Buber. Et Joseph Roth, Arthur Schnitzler, Stefan Zweig, Franz Kafka, d'autres encore.
Bien plus tard, Georges Perec, Thomas Bernhard, Paul Celan. Entre-temps, il y a eu la montée du national-socialisme.
Avant, bien avant, Menahem-Mendel de Kotzk disait que ne manquer de rien était la pire des malédictions.
Mais lorsque le monde s'obscurcit, pensait Wolf Leib Fränkel, est-ce mieux ?